LA POSITION DU MISSIONNAIRE
La position du missionnaire n'est pas forcément la meilleure (ou du non-missionnaire, dans ce cas). Une jeune Niçoise, mère de 3 enfants, reçue au CAFEP en physique-chimie (équivalent du CAPES mais dans l'enseignement privé catholique) était sur une liste d'aptitude, a passé son entretien devant la Commission Académique d'Accord Collégial, et a "séché" sur la Bible. Pas d'emploi à la clef donc.
On peut se poser la question : quel est le critère premier pour enseigner dans l'enseignement privé catholique, et, n'est-il pas normal d'avoir quelques notions théologiques ou quelque croyance quand on passe ce concours ? N'est-ce pas un choix ? En même temps, il n'est pas demandé aux candidats d'être croyants...
Un peu "tiré par les cheveux"...
Avant de tenter un recours, cette jeune femme qui ne peut pas avoir de poste par le biais du Rectorat, s'est tournée vers les politiques. Yann Librati devrait lancer une pétition pour que cette jeune femme trouve un poste.
2 commentaires:
Si le religieux fait un retour dans la vie de tous les jours nous allons faire un sacré retour en arrière.La France est à ce que je crois un pays laic, ces questions n'ont pas à être posée lors d'un entretien d'embauche.S'il y a une pétition, je la signe.
Le seul "truc", c'est un concours pour l'enseignement dans des collèges et lycées privés catholiques... Le CAFEP est spécifique dans ce sens. Mais bon, ne pas connaître la Bible n'est pas un critère pour être un mauvais enseignant... ou un bon. Mais la question se pose néanmoins avec la récente venue du Pape... etc...
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