NICE RICHE EN EVENEMENTS
L'actualité niçoise est riche en évènements : sommet européen en ce début de week-end, le conseil municipal de la rentrée qui se déroule vendredi 12, les sénatoriales qui approchent à toute vitesse, et, hors politique, le marché de la Libération qui commence à reprendre ses marques sur Malausséna...
Un sommet européen dit plutôt "informel" puisqu'aucune décision à valeur juridique ne sera prise. Le grand thème abordé sera le ralentissement de la croissance économique en Europe et dans le monde et comment y remédier.
Un conseil municipal dont vous pouvez découvrir la teneur sur Nice Premium. J'espère pouvoir y assister. Ce serait mon premier...
Les sénatoriales sur le devant de la scène, puisque devrait aujourd'hui être dévoilé le nom du représentant du parti socialiste et de la gauche (des gauches ?).
En bref, l'OPA qui se fait sur le Zoo de Saint Jean Cap Ferrat, seul terrain de 16.000 m2 disponibles sur le littoral, dont l'acquéreur potentiel est tenu secret, pour une somme 11.5 M €. Il reste peu de temps à Gérard Gaucheteux, patron de la SA qui gère le Zoo depuis 1983, avec tout l'amour qu'il peut porter à son zoo, de réunir des fonds pour pouvoir racheter le terrain, seul manoeuvre qui lui est donnée de sauvegarder ce patrimoine. Veolia, propriétaire des lieux, ne lui laisse guère le choix, sauf celui de trouver des fonds ailleurs. Bien entendu, le potentiel acquéreur n'est pas français.
Alors, mon coup de gueule, c'est juste que notre patrimoine français part à l'étranger.
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Ha ! Et puis après, c'est le coeur qui parle ! Le marché de la Libération. Je n'ai pas eu le temps d'y passer hier, aujourd'hui, juste en coup de vent. Ma première impression est comme une douche froide. Et je ne joue pas avec les mots. Beaucoup d'espace, certes. Mais quelle froideur ! J'ai été glacée. Comme le dit une des marchande de fruits et légumes du marché : pour le prix, cela a été fait en dépit du bon sens, et cela manque de chaleur.
Il est vrai que sur le boulevard Garnier, on manquait d'espace, on se bousculait (ce qui faisait aussi son charme parfois), mais il était plus ombragé. Sur l'avenue Malausséna, un autre client fait remarquer que les étals ne sont pas assez protégés du soleil et que ses tomates, passée une certaine heure seraient déjà des tomates provençales...
Moi, il ne me vient qu'un seul mot : froid, froid, froid...
J'ai quand même hâte d'aller repérer mes vendeurs préférés....
Ah oui, peut-être pour une certaine organisation (?), il restait des vendeurs sur le début du boulevard Garnier.
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