jeudi 18 septembre 2008

IMPLICATION : POURQUOI ?



Juste des photos du côté nord du lycée Masséna. Un très beau lycée.
On me demande pourquoi plus de photos ? Tant de choses à faire ! Entre la peinture de ma cuisine, mes démarches professionnelles et mon engagement politique, cela prend beaucoup de temps. Sans compter mon enrichissement culturel personnel, et mes projets perso ! J'ai pris aujourd'hui encore des livres à la médiathèque. Sur le nissart. J'ai envie d'en apprendre quelques bribes, à force d'écouter des chansons d'ici... Et, cela fait partie d'un de mes projets. Et puis, c'est plus facile que le breton (que j'ai aussi envie d'apprendre) !
Je vais en refaire, des photos. J'ai envie de faire des portraits. Dommage que je ne puisse pas mettre mes neveux (je ne veux pas mettre de photos d'enfants, pour les protéger de tous ces malades qui trainent), ils sont trop chou ! Et je me débrouille bien !
Quant à la politique... En réponse à tous ceux qui sont dégoutés, et je peux bien les comprendre, ma réponse est que la politique est là, quoi que l'on fasse. Je ne vais pas changer le monde mais je peux faire partie d'une dynamique pour changer un brin les choses à mon échelle. Le tout est de ne pas se laisser bercer et berner par tous ceux qui vous chantent une douce mélopée, mais de garder certaines convictions que je considère comme primordiales. Pour moi, ne pas voter, c'est donner la voix à celui qui est le plus fort. En 2012, ne pas voter, ce sera laisser le champs libre à Nicolas Sarkozy. A quoi sert-il de se plaindre de toutes les catastrophes que NOUS subissons tous, si, indirectement, on lui donne une voix.
Le parti socialiste n'est pas au meilleur de sa forme. Il n'est peut-être pas la seule solution. Tout ce que je sais, c'est qu'en se dispersant, on donne le champs libre à une droite dure, implacable, injuste. Ce n'est que mon choix, il est à géométrie variable d'ailleurs. Mais je donne une chance à ce parti de sortir du marasme dans lequel il se trouve, de l'inertie dans laquelle il s'endort. Du Hollande, je n'en veux plus, du Hollande-bis, je n'en veux pas.
Il va y avoir des alliances, on verra ce que ça donne, et, si ce que je vois me dégoûte, je partirai. Je m'engagerai dans d'autres causes, sinon d'autre parti.
L'important étant d'abord que je me trouve un emploi stable.

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