BIZARRE... ET POURTANT !

Comme je l'ai déjà écrit quelque part sur ce blog mais je ne vous dirai pas où... Mais j'ai une sensation bizarre, en regardant mes photos de Nice, c'est ma manière de la connaître, de l'approcher d'une manière différente, sur les hauteurs. Sensation bizarre, car, de l'avoir vue de beaucoup de hauteurs (rire, des collines), je la perçois différemment, l'imagine, comprend certaines choses, certains axes, son identité, si particulière, certaines de ses racines, certains choix qui sont à faire, qui sont en train de se faire. Le travail des uns tout comme le travail des autres. Chacun a sa place, quelque part. Son rôle dont la primeur est dédiée à sa propre identité.
Nous sommes la particule d'un ensemble bien vaste. Et c'est ce qu'il faut, cet espace, entre l'infini et le petit. Chaque jour qui passe est une page d'un livre dont Dieu seul connait la fin, Dieu, ou l'être suprême, quel que soit son nom, mais que nous parcourons, tout en sautant parfois des lignes, des pages, mais qui elles, ne vous oublient pas. Il nous est cependant possible, mais non pas comme un livre, de relire quelques lignes oubliées, une page entière étant définitivement tournée.
J'avoue que les pages sur Nice sont fort agréables, très enrichissantes, elles m'apparaissent comme un joyau voulant flatter mon regard.
Je me laisse bercer par ses effluves maritimes tout en n'oubliant pas que, sur le coin de mon épaule, s'épanche la tendresse de ses vallées.