CE QUI EST SUR...

(cliquer sur la photo pour lire l'article)

Ce qui est certain, c'est que l'affaire du tramway touche les Niçois...
Je trouve les remarques faites par ses détracteurs bien plus "viables" techniquement parlant que les "amoureux fou du tram sur la Prom".

J'avais commencé à écrire cet article le 22 juillet. Je le remets au goût du jour...
Pourquoi ? Parce j'y repensais, en rentrant de Gourdon avec un bus de la TAM... Et je me disais, au fond de moi : un tram, sur la promenade ? Et où passeront toutes ces voitures avec une voie rapide aussi merdique, avec une circulation déjà engorgée.
Non, même si on supposait que les travaux seraient moins coûteux et gênants pour les riverains... Franchement, à quoi bon un tram sur la prom... Qui plus est, je suis certaine que l'entretien de ce tram serait relativement gênant et couteux.

Avec mes "petits voyages", je parle beaucoup avec quelques personnes des petits villages. C'est drôle mais beaucoup de mécontentement quant à la politique du président, et, aussi, beaucoup de critiques quant à Estrosi lui-même, et la "dynastie" qu'il est en train de construire (ce ne sont pas mes termes). Parmi ces mécontentements, citons, entre autres, la non concertation de la population quant à des sujets qui lui sont propres et bien personnelles.
On voit bien là toute une stratégie de communication qui, à bien y réfléchir, est remplie de vide, et de pseudo actions. Cela me rappelle un certain nombre de questions qu'une personne m'a posées. La communication est certes une chose, la réalité en est une autre.

Ah oui, tant qu'on y est, un petit coup de gueule. Bientôt, le vote des motions, et l'élection du premier fédéral du parti socialiste. Certes, pas encore l'investiture pour les présidentielles. Et pourtant, j'y pense déjà. Mon coup de gueule, c'est que l'on a les moyens de remporter les prochaines élections, alors, même si je ne suis pas une socialiste aussi aguerrie que certains qui en connaissent bien plus que moi, il me semble important qu'une fois le ou la candidat(e) investi(e), il faudra s'unir derrière le ou la candidat(e), et, toujours selon mon coup de gueule, tous ceux qui ne soutiendront pas cette personne, ne sont là que pour faire gagner la droite. La gauche peut se moderniser, la gauche peut être forte et structurée sur des sujets "dits" de droite. Je suis prête à suivre la personne qui saura me convaincre. Si je vois que ça bidouille trop, alors, je me poserai encore une fois, mais cette fois-ci, plus déterminée, la question de mon engagement auprès du parti socialiste. Car, avec tout ce que j'entends, je continue de croire en une certaine gauche, mais, sincèrement, je suis déçue par pas mal de personnes ces temps-ci. Le temps passe, je me forge mes opinions, j'ai mes priorités, j'ai mes valeurs, et tant pis, si, une fois de plus, cela ne peut pas plaire, forcément.