jeudi 18 décembre 2008

FAITS DIVERS FAITS D'HIVER... FAITS DES TEMPS

Voisinage... Je ne voulais pas en parler mais...

J'en ai déjà parlé. En dessous de chez moi habite la fille et en face, sa mère... Deux furies. Tout l'été, elles ont vécu comme si elles étaient seules au monde, et j'ai dû faire des mains courantes. Du coup, j'ai été insultée, menacée...
Quand de nouveaux locataires sont arrivés, la mère a accusé la fille du nouveau locataire de vol de vêtements... Depuis, ils ont déménagé, ils n'en pouvaient plus !
A propos d'une fuite d'eau chez elle (pas chez moi), la fille d'en bas est montée un jour chez moi, a sonné comme une dingue, et, voyant que je n'avais nullement l'intention d'ouvrir, m'a menacée de me "défoncer le crâne" devant tout l'immeuble si je repassais la tête par la fenêtre. La police a refusé de prendre ma plainte.
Il y a plus d'un mois, la mère (en face) s'est plainte du fait que quelqu'un jetait jetait des seaux d'eau et de la javel sur ses vêtement "de marque", et a menacé d'aller lui mettre un "pain dans la gueule" et de lui "couper les mains, comme ça elle ne touchera plus un seau"... Le problème est qu'elles sont, la mère et la fille, effectivement montées et rentrées de force chez cette vieille dame et ont usé de violence à son égard. La vieille dame a porté plainte. Depuis, apparemment, elles continuent de l'importuner dès qu'elles aperçoivent cette vieille dame et ce soir, la fille de cette vieille dame est venue, avec le propriétaire, voir la mère et la fille. Cela chauffait vraiment ! Je suis descendue car je voulais voir la fille et lui dire que j'avais été témoin des menaces.
Car j'en ai ras le bol des ces furies-là, de leurs méthodes d'intimidation à mon égard durant tout cet été, de leur mode de faire, des disputes incessantes de sa fille avec son mec, à qui, apparemment, elle réclame sans arrêt de l'argent... Et de savoir que sa petite fille subit tout cela.

Les propriétaires se sont enfin rendu compte à qui ils avaient à faire ! Ils souriaient quand c'était moi qui leur disais...

Le mari de la mère, "Memet", m'a regardé d'un regard si noir que je crains des représailles. Il aurait eu un fusil à la place des yeux, je serais morte !
Je ne vais évidemment pas vivre dans la peur. Hors de question !
Mais il est également hors de question de laisser de tels agissements se perpétrer dans l'immeuble où ces deux familles sèment la "terreur" et déclament leurs lois.

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